"Il n'y a pas d'obligation de gratuité pour les places PMR, mais simplement des obligations de dimension, de facilité d’accès, ou de distance ; et les nouveaux parkings ont coûté des millions (...)" explique Anne-Catherine Geurts, cheffe de service "logistique patients". 

Au MontLegia ou à la Citadelle, ce n'est pas payant. Mais ce n'est pourtant pas illégal. C'est une discrimination positive qui disparait, d'une certaine façon. 

La gratuité reste présente pour certains critères : ceux des pathologies et les traitements lourds (les dialyses, les cliniques de jour en oncologie ou les personnes qui doivent suivre des radiothérapies). Le choix de la gratuité pour ces critères repose sur la fréquence ou la durée des visites. 
"Un patient égale un patient" n'est pas compris de la même manière dans tout les établissements.