Pour les personnes porteuses de trisomie 21, la retraite ne rime pas seulement avec repos. Elle peut marquer une cassure brutale dans leur quotidien, menaçant leur autonomie et leur équilibre social. 

Le problème ? Un manque de solutions adaptées pour accompagner cette transition. Trop souvent, ces personnes se retrouvent dans des structures non choisies ou retournent vivre chez leurs parents vieillissants. Cela va à l’encontre de leur droit à l’autodétermination et met à mal leur qualité de vie.

Des solutions existent pourtant : foyers de vie, MAPHA, habitat inclusif... Mais elles sont encore trop rares et mal connues. L’Unapei recommande donc d’anticiper dès 40 ans cette étape clé, en abordant les questions de logement, de santé et de lien social.

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