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Chais'Art Pressé, notre nouvelle sculpture inaugurée à Uccle

Notre nouvelle sculpture Chais'Art Pressé sera inaugurée le 6 avril prochain à Uccle. Emplie d'espoir et d'optimisme, cette oeuvre illustre cette course vers un monde plus inclusif.

Le 6 avril prochain aura lieu l'inauguration de la sculpture "Chais'Art Pressé". Cette oeuvre prendra place au croisement entre la rue Avenue bourgmestre Jean Herinckx et l’avenue de la ferme rose à Uccle.

Un projet porteur de sens 

Chais'Art Pressé est le fruit de l’initiative « Une commune, une sculpture pour l’inclusion ». Cette initiative est portée par l'asbl Autonomia et elle s'inscrit dans la continuité de son projet artistique "Chais'Art", lancé en 2010. Ce projet vise à démystifier le handicap grâce au pouvoir de l'Art et de l'humour.  C'est avec le désir de poursuivre ce travail de sensibilisation du grand public que l’idée de sculpture est née. L'objectif de ces oeuvres est d'intégrer le handicap dans notre société en lui donnant davantage de visibilité dans l'espace urbain. Cette initiative est portée par Cléon Angelo, fondateur de l'asbl d'Autonomia, Bénédicte Gastout, artiste peintre, et Eric Mercenier, artisan ferronnier. Cette oeuvre n'aurait également pas pu prendre place sans la coopération de Cap 48, equal.brussels et la commune d'Uccle. 

Une course vers un monde plus inclusif

En prenant part à ce projet, la commune d’Uccle délivre un message fort et porteur de sens, celui de cette course folle vers une société plus inclusive à laquelle les personnes en situation de handicap aspirent. Cette société rêvée lèverait ainsi les obstacles dans le but de rendre les structures ordinaires (enseignement, santé, emploi, loisirs...) accessibles pour tous. 

Cette oeuvre symbolise également l’espoir et l’optimisme en soulignant les efforts et les aménagements mis en place par la Région de Bruxelles-Capitale. Enfin, cette sculpture illustre le paradoxe d'une personne qui court avec, à ses côtés, la roue de son fauteuil roulant. Cette représentation véhicule un message fort puisqu'elle incarne le peu de différence qu'il existe finalement entre ceux qui sont en situation de handicap et ceux qui ne le sont pas.