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Volley assis

Le volley-ball assis, discipline paralympique, procure au pratiquant les mêmes sensations que le volley debout. Bien que moins puissantes, les attaques nécessitent de solides réflexes pour pouvoir sauver les balles.

Vignette représentant le volley assis
Sport physique, il amène fréquemment ses pratiquants à se coucher au sol. La technique est primordiale, ainsi que la vitesse de réaction.



Le volley-ball assis est ouvert à tous les sportifs porteurs d’une déficience physique répondant aux classifications du volley-assis. Les athlètes admis doivent être atteints d’infirmité motrice cérébrale, de paralysie des membres, de blocage ou d’ankylose des articulations ou d’une maladie évolutive telle que la dystrophie musculaire, la sclérose en plaques ou avoir un ou des membres partiellement amputés.

Tout savoir sur le volley assis

Le volley assis est peut-être la plus connue des formes de volley adapté, grâce à son inclusion aux Jeux Paralympiques depuis Arnhem en 1980. Il est joué par plus de 10.000 athlètes dans plus de 75 pays à travers le monde.

Les règles du volley assis sont basées sur les règles de la FIVB pour le volley-ball, avec quelques modifications mineures. Le terrain, par exemple, est plus petit (10 x 6 m) et le filet est moins haut (1,15m pour les hommes, 1,05m pour les femmes), et le jeu est beaucoup plus rapide que le volley debout. Il se joue au meilleur des 5 sets, la première équipe à atteindre 25 points (avec au moins une avance de deux points) remportant le set.

Les équipes en compétition dans les événements masculins et féminins, sont composées de six joueurs. Les joueurs doivent tout le temps être en contact avec le sol, et les blocs du service et des attaques sont autorisés une partie du torse de l’athlète.

Tous les athlètes ayant une déficience physique peuvent être admis au niveau international, à condition qu’ils passent par le processus de classification. Les joueurs peuvent présenter une paralysie ou une amputation. En outre, deux joueurs de chaque équipe peuvent présenter une « atteinte minimale », ce qui signifie que leur déficience peut apparaitre minime. Cette déficience minimum peut inclure des blessures ou des lésions du ligament croisé antérieur ou des doigts manquants.


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