Cette semaine, un article intéressant est paru dans la « La Libre » concernant la place que nous réservons aux personnes fragiles en Belgique.

L'article aborde l'évolution de la perception et de la prise en charge des personnes en situation de handicap, ainsi que leur place dans la société en Belgique et au Québec. Il met en avant l'importance de reconnaître les principes d'autodétermination et de participation sociale pour les personnes fragiles, mettant en lumière leur identité et leur humanité.

Il souligne que la fragilité, qu'elle soit due à un handicap, à la vieillesse ou à d'autres situations, fait partie intégrante de l'identité de chaque individu. Cependant, dans le passé, les personnes en situation de handicap étaient souvent marginalisées, invisibles socialement et parfois traitées avec condescendance ou charité, reflétant un modèle de protection et de stigmatisation.

L'article évoque l'évolution des modèles de prise en charge du handicap, passant du modèle médical (basé sur le diagnostic de déficience) à un modèle social, soulignant l'importance de l'accessibilité physique et sociale ainsi que des droits de la personne dans la compréhension du handicap.

Il mentionne également l'importance des institutions spécialisées dans l'inclusion sociale et appelle à préserver ces espaces en tant qu'éléments fondamentaux de la société. Ces institutions sont considérées comme des lieux où les personnes en situation de handicap trouvent un environnement familier avec un soutien spécialisé, favorisant ainsi leur intégration dans la société.

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